Evénement 2 # Un nouveau monde!

Le ciel était sombre, et la nuit bien avancée. Rafiki tournait en rond dans son baobab, l'esprit songeur, tourmenté par des questions dont il attendait les réponses. Ce n'était cette fois pas à Mufasa de les lui fournir, mais bel et bien à Nanaka et à Nava, ses confrères gardiens de la paix. Le vieux loup avait décelé une activité anormale chez les antagonistes. En effet, un monde inconnu avait subi leur attaque, et ils avaient fait prisonniers ceux qui n'avaient guère voulu se soumettre. Nanaka et lui avaient alors décidés de se concerter pour choisir d'agir ou non, et le vieux sage attendait la transmission de leur décision, se rongeant les sangs en silence. Au bout de quelques minutes qui lui parurent des heures, le vent se leva enfin, formant un dessin à travers le feuillage, que Rafiki déchiffra comme une arrivée.

On allait lui envoyer des créatures venant d'autres mondes pour partir dans celui-ci. Les deux sages avaient visiblement trouvé un moyen de forcer certaines failles à amener de futurs héros ici, et il lui fallait à présent trouver celle qui, depuis son monde, mènerait à celui en nécessité...

En attendant les nouveaux venus, Rafiki décida de faire un peu d'ordre dans son chez-lui. C'est ainsi qu'il découvrit la branche qui menait dans le nouveau monde. Il n'avait plus qu'à briffer les futurs arrivants et leur demander de les aider, en espérant qu'il ne redouterait pas de partir dans cette aventure qui pouvait s'avérer périlleuse... En effet, ni Nanaka, ni Nava ni lui-même ne savaient quels opposants étaient restés sur place, ni l'endroit où ils pourraient retrouver les prisonniers... Il n'y avait plus qu'à espérer que cette mission ne soit pas de la folie... S'appuyant sur son bâton, Rafiki secoua la tête - il s'inquiétait pour l'avenir des personnages qui arriveraient ici avant le lendemain... Ses collègues avaient-ils pris la bonne décision? Les antagonistes n'avaient-ils pas prévu leurs réactions? Ou alors essayaient-ils de prendre possession des mondes les uns après les autres?

Cette faille n'annonçait décidément rien qui n'aille...

Vitani atterrit plutôt brutalement, poussant un grognement de douleur quand une branche la fouettait particulièrement fort. Finalement, elle tomba sur une surface dure et plane.
La lionne ouvrit les yeux, tout en se redressant péniblement sur ses pattes. Où était-elle arrivée? Elle regarda autour d'elle, et resta silencieuse. Vitani osait à peine y croire. Une étendue sèche que la nuit avait déjà recouvert de son manteau sombre, et un énorme baobab.
Était-ce bien vrai? Oui, ce n'était pas un rêve: elle était bel et bien rentrée chez elle! Quelle chance! Elle eut une fugitive pensée pour Aniu, louve blanche qu'elle avait rencontrée dans un autre monde, espérant qu'elle aussi était parvenue à rentrer en "Alaska", son propre monde.

Elle leva les yeux vers l'arbre géant dont la voûte projetait son ombre sur elle, et crut entendre un bruit de voix. Cela devait être Rafiki, le vieux sage; Vitani avait entendu dire qu'il vivait dans un baobab. Elle eut soudain envie de grimper dans l'arbre, mais elle se rendit compte qu'elle ne savait pas comment faire. Y avait-il un endroit où elle pourrait monter facilement?

-Il y a quelqu'un? lança-t-elle.

Au fond, elle ne savait pas vraiment pourquoi elle ne partait pas directement au Rocher de la Fierté. Qu'est-ce qui la retenait ici? Mais, malgré son désir de retrouver un univers familier, de dormir dans la grotte aux côtés des autres lionnes du clan, de se sentir à nouveau maîtresse de ces terres et de son destin, elle ne bougea pas et attendit.

Vitani grogna, agacée. Grimper, c'est ce qu'elle comptait faire, merci bien! Poussant un léger soupir, elle monta dans l'arbre et se retrouva dans un endroit spacieux et protégé par les branches feuillues du baobab, qui devait sans doute être agréable à vivre. Par endroits, des fruits, des sortes de carapaces de tortue, et un long bâton que, elle le savait, le vieux singe utilisait pour les baptêmes et autres cérémonies officielles au Rocher des Lions.
Des dessins aux tons brun-rouge, la majeure partie représentant des lions, occupaient une partie des larges branches, qui semblaient assez solides pour supporter le poids d'un hippopotame, et la femelle sentit un léger frisson la parcourir. C'était donc ici que vivait Rafiki?

Celui-ci l'invita à s'asseoir, ce qu'elle fit aussitôt, sans mot dire malgré sa curiosité dévorante. A côté d'elle, il y avait une espèce de... de belette? Mais elle lui semblait étrange, et elle avait une feuille sur l'oeil droit. Puis elle reporta son attention sur le singe quand il prit la parole.
Ce qu'il dit fit s'agrandir les yeux bleus de la lionne: il raconta connaître depuis déjà un moment les failles, mais ne pas les contrôler, et avoir préféré taire cette découverte pour éviter des mouvements de panique. Mais était-ce une raison suffisante pour garder le silence, se demanda-t-elle? Après tout, ils avaient le droit d'être au courant, ils étaient concernés! Mais il était vrai, elle devait le reconnaître, qu'engendrer la terreur n'était pas vraiment malin...
Enfin, enfin elle avait quelques réponses - assez vagues, malheureusement, mais c'était tout de même des réponses - à propos des étranges phénomènes qui tombait sur les habitants des différents mondes!
Elle se posa vaguement la question de savoir qui était Nanaka et Nava, deux noms mentionnés par Rafiki, mais n'eut pas le temps de poser la question, le singe n'en avait pas terminé.

La suite figea le sang de Vitani dans ses veines. Apparemment, certaines personnes avaient rapidement deviné l'usage de ces failles, et appris à les utiliser. Et ils avaient attaqué un monde et fait prisonniers ceux qui ne s'étaient pas soumis!
Et si personne ne faisait rien, le mouvement s'étendrait encore!

-Vous pouvez à présent choisir d'entrer dans ce nouveau monde, ou rentrer chez vous.

Elle se figea. Revenir auprès des siens, ou bien tenter de sauver ce monde?...
Elle pesa longuement le pour et le contre, et songea que si elle ne faisait rien, ceux qui avaient emprisonné les membres de l'autre monde viendraient ici-même, chez elle, un jour ou l'autre. Et puis, pourrait-elle jamais repenser à cette histoire de faille sans ressentir de honte à l'idée d'avoir abandonné à leur sort des créatures faites prisonnières, si elle repartait au Rocher de la Fierté?
Sa décision était prise.

-J'accepte de partir dans ce monde, et je ferai tout ce que je pourrai pour sauver ses habitants, déclara-t-elle d'une voix déterminée.

Sans plus attendre, elle s'avança vers la branche que le vieux sage avait désigné comme étant le portail qui la mènerait à l'autre monde. Elle marqua une imperceptible hésitation - était-elle bien certaine de son choix? Et finalement, elle posa la patte sur la branche, et tout disparut.

Kronnos tombât du ciel, mais arriva sur une très grande feuille qui amortit sa chut. Il plissât les yeux et poussa sur ces pattes comme au jour de sa naissance. il était debout, tourna la tete et regarda le sol,Ses pattes se tenait sur un sol dur, mais ou était donc passé l'herbe fraiche et vert du cimaron ?Tout ce que savait kronnos c'est qu'avant d'arriver là il jouait avec rivière et que soudain il est tombé ici ! Il gratta le sol et le renifla pour identifier la matière , mais ce n'était rien, rien qu'il connaissait en tout cas.

Kronnos avance et vis une petite feuille,il ouvrit la bouche pour la gouter quand il se souvenu des paroles de sa mère:

"ne mange pas ce que tu ne connais pas !"

Kronnos referma sa bouche a coté et regarda sur sa droite il vis l'immense arbre, le baobab. Son coeur se serra.Il n'avait jamais vu un arbre aussi gros et aussi grand!Le poulain se cache derrière une plante et attendit, il compris quelque seconde plus tard que cet arbre était ordinaire et il n'avait plus peurs.il s'approcha de l'arbre et regarda en haut et il dit courageusement:

"Bonjour.Il y as quelqu'un?"

Il était près a détaler mais il attendit pour voir si il avait un reponse.

(ps:Ce rpg est mon premier s'il y as quoi que ce soit qui ne va pas dit le moi^^)

Kronnos regarda le babouin (corriger moi si je me trompe) et les branches. Le jeune cheval mis ses pattes avant et se dit (pensa si vous préféré)

*Bon il va falloir que je grimpe en haut avec ces branches?Mais je ne peux pas !*

Soudain le poulain entendit un craquement de branche derrière lui. Kronnos fit un sursaut et mordu la première branche il pliât ses pattes avant et les mis au niveau de sa bouche sur la branche. l'enfant poussa ses pattes arrière et se mis en équilibre sur la branche et regarda en bas et en haut.Il sauta sur la branche qui était un peu plus haut et ainsi de suite toute allait pour le mieux quand une branche craqua a ce moment kronnos était déjà assez haut entama une chute libre.

Heureusement il put se raccrocher ha une autre branche plus bas. Le poulain pris de panique s'accrochait tant bien que mal avec ses pattes avant et sa tète. Ses pattes arrière, qui était dans le vide lui fessait du poids en arrière il se mit ha les battre pour attraper le reste de la branche. Sa y est il était remonté!

Kronnos était tous tremblant il regarda en bas et se ressaisit il eu un idée:comme l'autre branche avait craqué (surement à cause son poids oui c'était une branche légère.)Il se dit que s'il se servait de sa vitesse pour sauter vite fait sur les branches ça devrait être bon!

Alors,kronnos s'appuya sur le coté de la branche et sauta sur l'autre aussitôt arriver et aussitôt il recommença le mouvement.Les actions allait de plus en plus vite ! Un moment il arriva devant la branche qui avait cassé (par définition elle n'est plus la le saut qu'il devait accomplir était donc deux fois plus grand)Il pris de l'élan en s'appuyant sur le tronc du baobab et sauta les quelque mètre avant de se rattraper de justesse sur la branche suivante!

Kronnos accomplit sont dernière effort et arriva aux coté de rafiki il était essouffler, mais regarda le vieux singe et lui fit un oui de la tète.


ps:C'est vrai que dans le film original il ne parle pas mais les chevaux on l'aire de se parler entre eux et je me disait que se ne serait pas pratique pour communique si il ne peut parler mais la je ne sais pas quoi faire.

[Je trouve aussi que c'est excellent, pour un premier rp, Kim' ^^]

Le vieux singe accorda à Jenna un sourire entendue, et la jeune chienne devina qu'elle avait mis la griffe en plein dans le mille : alors comme-ça, c'était bien lui qui avait poussé la faille qu'elle avait traversée à la mener jusqu'ici... ou mieux, si ça se trouve, c'était lui, ou l'un de ses amis, qui l'avait créé. Cette idée laissa la chienne toute étonnée, et impressionnée ! Il lui tardait d'en savoir plus et elle s'apprêtait à boire ses paroles comme sa jeune maîtresse dévorait un livre sur les chevaux... quand, comme pour mettre un point sur ce qu'elle venait de penser, un bruit qui ressemblait à un hennissement se fit entendre, plus bas. Elle jeta un oeil par-dessus la branche sur laquelle elle se tenait, et planta inconsciemment les griffes dans l'écorce quand elle trouva le vide en dessous-d'elle... mais elle ne pouvait pas voir le nouveau venu, à cause de la végétation du baobab. Le singe s'excusa donc et partie à la rencontre du nouveau venu, qu'elle supposa être un autre "invité surprise" pour... pour elle ne savait ce que voulait faire leur hôte. Jenna se sentit un peu agacée, car elle était pressée de pouvoir en apprendre plus sur les pouvoirs que le primate-sorcier exerçait sur les failles, et tout particulièrement à quel point cela pouvait l'aider à avancer dans sa quête... mais elle fit montre de patience et ignora son agacement, assise sur la branche, attendant le retour du singe.

Jenna l'entendit parler en bas, demandant au nouveau venu de les rejoindre au sommet. Puis il revint devant-elle... c'est fou ce qu'il pouvait être agile ! Mais chaque fois que Jenna le regardait se balancer d'une branche à l'autre, elle se sentait comme si son estomac était tombé en-bas de l'arbre... si bien qu'elle préférait ne pas l'admirer, détournant les yeux jusqu'à ce qu'ils soient à nouveau face-à-face. Il s'excusa, et elle lui fit un signe du museau avec un petit sourire, prenant ainsi l'air de dire que ce n'était pas grave... et enfin, il lui dit ce qu'elle voulait entendre. D'abord, il se présenta, et elle enregistra son nom : Rafiki... il lui dit aussi qu'il était un ami, mais ça, il n'avait pas besoin de le préciser, elle l'avait vite devinée... mais bon, ça, ce n'était pas grave. Et enfin, il lui raconta une histoire, l'histoire des failles qui mettaient les monde sans-dessus-dessous, qui faisait s'égarer des êtres, et qui, d'après ce qu'elle venait d'apprendre, servaient de moyen de déplacement à de mauvaises personnes. Et l'histoire, plutôt triste, raconté qu'un monde vierge des failles venait d'être pris d'asseau par ces barbares, et que ses habitants, pris par surprise, avaient été fait prisonniers.

Rafiki eut raison de laisser un instant à Jenna, tendis que celle-ci réfléchissait à ce que tout-cela pouvait bien à voir avec elle...

-Mais qu'est-ce que... oh ! S'exclama-t-elle, ouvrant soudainement de grands yeux.

Non, ce ne pouvait quand-même pas être ça... elle ne pouvait pas, elle, avoir été choisie pour une telle chose. Et pourtant, le regard du primate lui laissait penser qu'elle avait trouvée juste. Alors, afin d'en avoir le coeur net, elle continua :

-Vous ne m'avez quand-même pas faite venir ici pour que je vienne en aide à ce monde en danger ? Je veux dire... si c'est le cas, je suis flattée, bien-sûr... mais regardez-moi. Je suis à peine capable de survivre seule, je suis une chienne domestique, et je risque la mort à chaque nouveau monde que je traverse. En quoi pourrais-je bien être utile ?

Cette discussion prit temporairement fin avec l'arrivée du nouveau venu, qui, vu sa respiration difficile, semblait avoir eu à faire une difficile ascension... et au fond, ce n'était pas étonnant, et Jenna ouvrit de grands yeux : elle avait eue raison, c'était bien un cheval, mais en fait pas tout à fait ; c'était en réalité un poulain, juste un peu plus grand qu'elle, donc très jeune, selon ce qu'elle savait de ses animaux, et si elle les comparait à un bébé élan qu'elle avait pue observée, une fois, dans les plaines sauvages de l'Alaska, collé au flan de sa mère.

Devant un être aussi jeune, la chienne réagit immédiatement : oubliant surement temporairement sa peur, elle se redressa et fit trois pas en arrière. Elle ne souhaitait plus qu'une chose, maintenant : faire en sorte de protéger ce petit. C'était ça, d'avoir l'âge de Jenna, et d'être mère : elle gardait toujours ses instincts maternels, même si ses petits étaient grands, maintenant. Elle dit à Kronnos :

-Viens, approche, le centre de la branche est plus grosse, tu tiendras mieux.

Et elle en profita pour jeter un regard plein de reproche à Rafiki :

-Non mais, ça va pas, le faire grimper jusqu'ici ! Ce n'est pas une chèvre, c'est un poulain... il aurait pu se casser une jambe !

C'est a qui là?

[HS]à toi il me semble[/HS]